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L'emplacement de l'University Arms est imbattable. En plein cœur de Cambridge, cet hôtel de luxe surplombe le parc et se trouve à 5 minutes à pied des boutiques, cafés et restaurants. Le meilleur moment pour séjourner est en semaine ; l'hôtel est tellement fréquenté le week-end que vous ne pouvez pas vraiment apprécier les espaces publics lambrissés qui sont tous charmants et comprennent la bibliothèque, le bar et le restaurant Parker's Tavern 1834. Les chambres et les suites sont toutes décorées dans les tons de bleu de Cambridge, avec de grands lits et des salles de bains monochromes de style new-yorkais, équipées de tout le luxe que l'on est en droit d'attendre du meilleur hôtel de Cambridge. Les produits Dr Harris & Co sont généreusement fournis dans toutes les chambres et le nom de la personne qui s'occupe de votre chambre est laissé sur votre lit pour rendre votre séjour encore plus personnel.
Du mercredi au dimanche, les salles de soins d'Aromatherapy Associates sont une nouveauté. Amber, qui parle franchement, y exerce sa magie pendant que vous vous détendez sur un lit chauffé extra-large. Ces salles de soins complètent merveilleusement l'offre déjà vaste de l'hôtel et font de l'University Arms l'option idéale pour un séjour de détente.
Le soir, vous pourrez vous installer au bar ou prendre le thé de l'après-midi, une spécialité de l'hôtel, souvent à thème, avant d'aller en ville pour la soirée. Vous serez toutefois tenté de rester à l'intérieur, car la Parker's Tavern a un goût délicieux de Cambridge et propose de fantastiques cocktails, mocktails, boissons et vins. Le menu à la carte présente un équilibre parfait entre les plats végétariens (les asperges à la truffe sont tout simplement appétissantes) et les plats de viande, avec une gamme irrésistible de glaces et de sorbets faits maison avec des garnitures (guimauve, flocons, nid d'abeille, etc.) à choisir. L'University Arms excelle à rendre les choses simples exceptionnelles : un steak parfaitement cuit, un service efficace, amical et discret ou un excellent capuccino. Ce sont les petites choses qui font le grand tableau, plutôt merveilleux.
Exploration locale
Belles promenades
Apprentissage
Musées
D'autres activités
Sites touristiques à proximité
Spa
Terrasse sur le toit
Courte pause
Centre ville
Gourmet
Romantique
Chambres avec balcon/terrasse
Marchés locaux
Designer
Opulent
Refuge
Pause Romantique
Escapade à la campagne
Emplacement exceptionnel
Plein de caractère
Quartier animé
Adapté aux enfants
Maison de ville
Restaurant
Style urbain
Oeuvres d'art
Vélo
Historique
Dans/près d’une réserve naturelle
Élégant
Les gourmands
Salle de fitness
Vacances actives
Antiquités
Lunes de miel
Wifi gratuit
5* Luxe
Accès handicapés
Traditionnel
Contemporain
Luxe
Nightclubs a proximité
Chambres
192 chambres dans cet hôtelSpa
Salles de soins d'Aromatherapy Associates pour les invitésTerrasse sur le toit
Certaines suites ont leur propre terrasseMagasins
A moins de 5 minutes à pied des commercesMassage
Dans les salles de soins - réservé aux clientsBar
Vélos à disposition
Chambres avec balcon/terrasse
Restaurants accessibles à pied
Salle de réunion
Peignoirs
Lits bébé disponibles
Coffre
Pas d'animaux de compagnie
Bibliothèque
Adapté aux enfants
Restaurant
Salle de fitness
Salon
Service de chambre
Accès handicapés
Suites
Concierge
Télévision par satellite/câble
Wifi
Climatisation
Wifi gratuit
Belles promenades
Apprentissage
Musées
D'autres activités
Sites touristiques à proximité
Marchés locaux
Théâtre
Vélo
Nightclubs a proximité
The oldest hotel in Cambridge, built as a coaching inn alongside the city common, Parker’s Piece, in 1834. The University Arms has been completely rebuilt by top classical architect John Simpson, with interiors by man of the moment Martin Brudnizki. It now has 192 bedrooms and a bar and bistro, Parker’s Tavern.
Publié originellement par The Telegraph
For a long time, Cambridge had brains but nothing to boast about in the bedroom department. It’s taken four years, an £80m cash injection and some top-drawer designers and architects (John Simpson and Martin Brudnizki) to do something about that. The result is a hard-to-come-by mix of the scholarly and stylish — basically, the Eddie Redmayne of hotels.
Publié originellement par The Times
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