Mashpi Lodge

Nos Avis

Bien qu'il ne soit qu'à 100 km du centre de Quito, il faut plus de trois heures pour atteindre le Mashpi Lodge sur les routes sinueuses des Andes. Enfin, il surgit des nuages de la forêt tropicale de Choco comme une apparition de verre et de teck. La forêt environnante est un nœud de verdure, avec des rivières de la couleur du café laiteux et des racines de santal rouge qui courent dans la boue comme des veines aérées. À leur arrivée, les hôtes reçoivent des cuissardes en caoutchouc et des vestes de pluie à capuchon pour explorer la forêt lors de randonnées diurnes ou de promenades nocturnes éclairées. Chaque jour, les hôtes peuvent choisir parmi un éventail d'activités couvrant la réserve privée de 6 177 acres : randonner, pédaler à travers la cime des arbres sur le Skybike, ou monter sur le téléférique "Dragonfly", qui transporte les gens d'un côté à l'autre du parc sur un trajet de quarante minutes. Le personnel est recruté au sein de la communauté locale et constitue d'excellents guides dont l'intelligence physique et la connaissance de la région rendent les randonnées éducatives et sans stress.

Les repas sont pris dans le restaurant aéré, qui sert une grande variété de plats équatoriens dans un style gastronomique. À la fin d'une longue journée, retirez-vous dans une chambre ouverte d'un côté avec une fenêtre murale donnant sur la jungle. Gardez le store ouvert pour vous réveiller avec la lumière du jour sur les arbres et pour apercevoir quelques-unes des 400 espèces d'oiseaux de Mashpi.

Mashpi prend au sérieux son engagement écologique. Il y a également un laboratoire biologique sur place où, depuis 2012, l'équipe de scientifiques de Mashpi a identifié dix espèces animales et végétales jusqu'alors inconnues de la science. Contrairement à d'autres établissements dits durables, Mashpi n'achète pas de compensations carbone. Toutes les compensations sont effectuées sur place en calculant le carbone pouvant être capturé par la forêt environnante et en restant dans ce périmètre.

James Patterson Publié: 31/10/2018